Règles de conduite à l’égard des gens toxiques

regles de conduite a legard des gens toxiqueA mon grand regret, et en totale opposition avec nos aspirations, une partie importante d’individus, qui peuvent prendre le trait de nos amies, parents, voir notre conjoint ou encore patron, nous incite à abandonner nos rêves. Qu’ils soient fous, hors de portée ou juste ambitieux.

Ces gens toxiques, en fidèle disciple de l’être moralisateurs et pessimistes. Nous transmettent leur message, dont la finalité est de projeter leurs craintes sur nous et d’étouffer nos rêves les plus grands.

Ils critiquent nos actions, à chaque fois que nous parlons de projet, de rêve ou de succès professionnels.

Le plus dure dans tout ça, c’est qu’ils ne sont pas animés de mauvaises intentions. Ce sont des inquiets, des incrédules, des alarmistes qui nous découragent parce que, tout simplement ils projettent sur nous leur propre peur.

« QUELQU’UN DOIT NOUS AVERTIR, DES LES PREMIERS JOURS DE NOTRE EXISTENCE, QU’EN FAIT NOUS SOMMES DEJA A L’AGONIE, AFIN QUE NOUS AYONS L’INTELLIGENCE DE PROFITER DE CHAQUE MOMENT DE L’EXISTENCE. JE VOUS LE DIS : FAITES-LE ! TOUT CE QUE VOUS VOULEZ FAIRE, FAITES-LE ! CAR L’AVENIR EST LIMITE. »

Michael Landon

Je suis sûr que ces personnes sont persuadées qui œuvrent pour votre bien ! Parce que vous méritez davantage. Mais la manière dont ils réagissent nous irrite, entame notre moral et épuise notre énergie.

Envoyée les valdinguer, évacuer tous les bouffeurs d’énergie, les pessimistes aux rêves briser…

A leur place, entourer-vous de personnes qui vous inspirent, fréquentez des rêveurs, des gens audacieux, des créatifs, des artistes…

Laissé parler votre cœur, soyez davantage à l’écoute de vos aspirations et de vos désirs. Essayez de les réaliser dès aujourd’hui, au lieu d’écouter les voix du conformisme et du statu quo.

Je ne veux pas vous effrayer, mais les briseurs de rêve à la critique facile et le lot de toute personne qui entreprend une action, quelle qu’elle soit.

Dans son livre La Magie de la liste Yuval Abramovitz fait part d’une légende folklorique et sa morale, à propos des gens toxiques. Tout à fait approprié vu le sujet de ce poste.

Légende folklorique et sa morale

Un beau matin, dans un petit village, un père réveilla son fils et lui dit : « debout, fiston, debout ! Accompagne-moi à la ville, tu apprendras peut-être quelque chose aujourd’hui. »

Le père sella son âne, jucha son fils sur le dos de la bête, et tous deux prirent la route, le père marchant à pied à côté de l’âne. Au crépuscule, alors qu’ils pénétraient dans la ville, les habitants les regardèrent et s’exclamèrent : « voyez cet enfant effronté : au lieu de laisser son père âgé monter à dos de son âne, il le laisse suer sous la canicule ! » le père et son fils entendirent les remarques des habitants, bouclèrent leurs affaires au marché, puis s’en retournèrent à leur village.

Le lendemain matin, le père réveilla son fils et lui dit : « debout, mon cher fiston, debout ! Nous allons à la grande ville, et tu apprendras peut-être quelque chose. »

Cette fois, le père monta à dos d’âne, et son fils chemina à pied.

En arrivant à la ville, les anciens de la cité les regardèrent et s’écrièrent : « c’est quoi, ce père qui laisse son fils marcher à pied, alors que lui se pavane sur son âne ?» le père et son fils entendirent leurs remarques, finirent leurs affaires en ville, puis s’en retournèrent chez eux.

Le lendemain matin le père réveilla à nouveau son fils : vient mon chéri, aujourd’hui encore nous nous rendons à la ville, et tu vas peut-être apprendre quelque chose. Cette fois, tous deux se juchèrent l’âne. À leur entrée dans la ville, une bande de persifleurs les attendait déjà : « non, mais regardez ces deux-là ! Ils n’ont pas de cœur : cet ânon misérable sur déjà sang et eau sous cette chaleur, et ces deux-là se prélassent sur son dos… ils veulent le tuer ou quoi ? Ces gens n’ont aucune pitié ! » Le père et le fils entendirent leurs récriminations, puis, leur visite chez le pharmacien achevé, s’en retournèrent chez eux.

Le lendemain aussi, le père réveilla son fils et l’invita à l’accompagner en chemin. Cette fois, ils allèrent à pied jusqu’à la grande ville, tandis que l’âne trottinait à leurs côtés. Les anciens de la ville firent les yeux ronds et rirent aux larmes : « qui est l’âne et qui est l’être humain dans cet attelage ?. Quel fou ! Ils ont un âne, et ils ne le montent même pas ! » Le père et le fils entendirent leurs moqueries, et à la fin de leur rendez-vous chez le tailleur, regagnèrent leur village.

Le lendemain le père réveilla son fils et s’assit sur son lit.

« Aujourd’hui encore, nous allons en ville, Papa ? Aujourd’hui encore, je vais apprendre quelque chose ?

« Chaque jour, on apprend quelque chose. Il faut que tu comprennes, fiston : quoi que tu fasses, et peu importes la manière dont tu le fais. Il y aura toujours des gens pour te critiquer ou pour se moquer de tes choix. C’est pourquoi il vaut mieux que tu vives ta vie comme tu l’entends, à ta guise, comme ça te convient, comme tu veux et comme tu aimes. Parfois, le résultat est bon, parfois, mauvais, mais il y aura toujours des gens pour critiquer. Ton cœur, c’est ta boussole, et souviens-toi que je te soutiendrai toujours. »

LAISSEZ DE COTE LES GENS TOXIQUES.

VIVEZ VOS RÊVES

MAINTENANT !

ressources :

Livres ; La Magie de la liste



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