Le succès à portée de main

 

84 conseils pratiques pour booster vos talents…

 De Joaquin LORENTE

De M. Rivas-Micoud, 2010, 206 pages, éditions First Spycho. Chronique et résumé de « Le succès à porté de main » Dans ce livre, Joaquin Lorente, nous dévoile 84 conseils pratiques pour booster vos talents.

L’auteur nous propose au travers 84 conseils pratiques, les clés pour réussir dans la vie, pour attirer le succès dans votre vie personnelle comme dans votre vie professionnelle.

Prologue

Dans ce prologue, l’auteur nous explique ou à puiser l’inspiration pour écrit se livre.

« Les principes exposés ici s’appuient sur des faits concrets, du vécu. Mon vécu, mai aussi celui de ceux avec qui j’ai eu l’occasion de voyager et de réaliser des choses. Ces énoncés sont du concentré d’expérience, cette expérience que j’ai acquise tout au long du chemin _ semé d’embûches ! de ma vie. Ils rassemblent tout ce que j’ai appris, par moi-même et au contact de nombre de personnalités exceptionnelles ».

Il est vrai que l’ensemble des 84 conseils sentent le vécu.

Pensez, ça ne coûte rien !

Dans un monde où l’argent est l’outil le plus puissant, un monde où tout a un prix et peut se monnayer, le pouvoir de penser est ce qui décide de tout, régit tout et conduit tout. C’est un don, un don que nous avons reçu en partage. Et comme il s’agit d’une aptitude naturelle, penser ne coûte absolument rien. Rien du tout… c’est gratuit !

La chance, c’est savoir tirer profit du hasard

Lorsque tout se met en place et que votre destin s’accomplit, vous vous rendez compte que la chance à commencé à vous sourire à l’instant même où vous avez senti que le hasard était à la porté de votre main, et que vous avez ouvert grands les bras pour l’accueillir.

« La chance c’est l’attention portée au détails » Winston Churchill.

Le triangle du succès : une idée, du flair et beaucoup de courage

Il en est ainsi depuis la nuit des temps, et cela n’est pas près de changer. Tous les meneurs d’hommes possèdent intrinsèquement ce triangle. Beaucoup le dissimulent, mais il est évident qu’il fait partie d’eux-mêmes. D’autres, du fait de leur statut social ou de leur ego, finissent par le révéler.

Le triangle de l’échec : des idées en pagaille, du flair et pas de courage.

La connaissance est un moteur à l’arrêt. C’est votre attitude qui vous fait avancer

Dans une société dominée par la concurrence, la vie finit par ressembler à une course de Formule 1.

La somme de connaissances accumulées au cours de nos études, c’est notre moteur, notre capacité.

Mais dans la grande course de la vie, ce qui vous permettra de négocier tous les virages de contrôler les dérapages, d’éviter les sorties de pistes, d’accélérer et de vous hisser sur le podium c’est l’attitude que vous adopterez.

Je rejoint entierement la philosophie de l’auteur, en dernier recourt, ce que l’on retiendra c’est l’attitude que vous adopter, devant une situation, et non l’école dans laquelle vous avez étudier ou la ville dans laquelle vous avez grandit.

L’avenir, c’est le temps qui nous reste pour faire ce que nous n’avons pas encore fait.

Avoir toujours un projet sur le feu, c’est vital. Car cela signifie que vous faites plus que d’être simplement en vie : vous êtes vraiment vivant.

Disons le simplement : notre plus gros dossier en cours, c’est toujours notre avenir.

Ce principe est tout simplement génial, en lisant ce chapitre on comprend la nécessité d’allez de l’avent, et de ne pas remettre les choses au lendemain.

Si vous cherchez le meilleur des coachs, regardez vous dans le miroir.

Plus besoin de gymnase ni de salle de musculation. Vos haltères, ce sont vos livres ; l’écoute et l’échange sont vos barres parallèles ; et l’effort pour élever votre discernement, c’est votre trampoline !

Quand vous vous regarderez dans le miroir, rien n’aura changé, mais je peux vous assurer que vous vous sentirez bien meilleur.

Les doux souvenirs vous anesthésient.

Les grands projets vous tiennent éveil.

A moins d’être plongé dans un sommeil sans rêves, nos capacités cérébrales sont constamment mobilisées par l’une des trois zones temporelles : le passé, le présent et le futur. Le passé et le futur sont le commencement et la fin de votre existence.

En vous concentrant sur l’avenir, […] vous concentrez votre potentiel cérébral sur ce que voulez être, plutôt que de chercher du réconfort dans ce que vous avez déjà été.

Le pragmatisme, c’est le train d’atterrissage de vos rêves.

Savoir s’élever et transcender le quotidien est indispensable pour visualiser et comprendre le contexte où nous évoluons. C’est ainsi que nous parvenons à identifier la meilleure voie possible.

Note : je vous recommande un article que j’ai écrit « l’art d’être un compétiteur » qui à pour thème le principe évoqué.

Au delà de votre force. Il n’y a que votre faiblesse.

Ce qui caractérise les grands génies, c’est précisément la distance prudente qu’ils savent conserver avec leurs propres limites. Car ils n’ignorent pas que, au delà de ces limites, se trouve un précipice.

La plupart des entreprises souffrent d’un excès de papier et d’un déficit de peau.

Vous avez sans doute déjà connu – et vous connaîtrez encore – de ces chefs d’entreprise qui sont convaincus qu’une fois qu’ils ont couché sur le papier leur vision, leurs objectifs ou leurs instructions, leurs travail est accompli. Ils ignorent que ce qui alimente le cerveau et l’incite à entrer en action, ce sont avant tout des sensations.

Ce qu’on peut retenir de ce principe, c’est qu’il ne s’applique pas qu’aux chefs d’entreprises (hélas…) mais bien à l’ensemble des postes d’encadrement.

Si vous ne savez pas ce que vous voulez, vous ne saurez jamais ou allez.

C’est en décident vers quoi nous tendons ou, d’un point de vue large, en définissant la direction dans laquelle nous allons, que nous concrétisons notre talent et que nous rentabilisons au maximum notre énergie.

La moitié de notre vie est faite d’échanges.

Il n’existe pas de plus grande vitrine universelle que celle des échanges de courants et d’influences entres les êtres humains. Les plus ambitieux sont ouverts au marché mondial de l’offre. Les plus discrets se limitent à leur entourage immédiat.

Le génie transgresse ce qui est établi.

Le génie individuel existera toujours, car il est intrinsèque à certains êtres humains. Le génie collectif est une affaire beaucoup plus délicate. Pour que le plus beau des œufs soit pondu, il ne suffit pas de rassembler des tas de poules dans sa basse-cour.

Si vous ne promettez pas le paradis, vous n’aurez jamais de croyants.

Le monde libre et développé est devenu un gigantesque bazar regorgeant de tentations. Parmi tous ceux qui revendiquent votre adhésion, votre foi, votre argent, voire les deux, seuls ceux qui parviendront à vous convaincre que ce qu’ils proposent vous est indispensable sauront remporter votre adhésion, votre foi, votre argent. Dans la réalité du marché, le vendeur qui a le plus de succès est celui qui offre la meilleure valeur, le meilleur rapport qualité prix.

Evidemment, aucune entreprise ni aucune marque ne peu promettre la vie éternelle, mais toutes se doivent de définir et de proposer leur propre version du paradis sur terre. Plus vous parviendrez à faire vivre ce désir d’atteindre votre objectif, plus vous aurez de chance de réussir et de rassembler le plus grand nombre de fidèles.

Une marque naît d’un acte de foi

Elles disposent d’un concept vendeur : si vous croyez en moi, vous obtiendrez ceci. C’est ici qu’il faut promettre le paradis sur terre.

Vos client peuvent-ils expliquer simplement la récompensent que vous leur offrez. Votre entreprise dispose t elle d’une identité forte reposant sur un ensemble de signes aisément mémorisables.

Triompher, c’est convaincre les autres qu’ils désirent ce que vous leur proposez.

La notion de triomphe, telle qu’elle est définie de nos jours, est marquée d’une certaine dualité. Car accomplir quelque chose d’exceptionnel pour soi-même ne suffit pas au triomphe. Il faut que, en plus, cette réussite soit reconnue, voulue et même applaudie par les autres. Sans reconnaissance extérieure, sans la clameur du public conquis, le triomphe disparaît dans les profondeurs silencieuses de l’intime.

Si vous ne vous montrez pas persuasif, vous n’existez pas. Et si votre conviction n’a aucun écho, vous ne faite qu’exister. Le triomphe, c’est l’écho massif de la persuasion.

Une marque est une valeur dans l’esprit du consommateur

Si vous ne pénétrez pas dans les cerveaux, vous vous diluez dans l’atmosphère.

Vous pouvez jouir des meilleurs locaux, du capital financier le plus solide et le fiable, de la meilleure équipe de cerveaux surentraînés, de l’adhésion favorable et bien veillante des distributeurs. Vous pouvez offrir un produit ou un service intéressant, utile et nouveau. Mais en dépit de ces conditions idéales, si vous échouez à donner de la valeur à votre marque dans l’esprit des consommateurs, vous ne bâtirez qu’un château de sable.

La valeur, c’est le condensé du bénéfice que moi, en tant que marque, je vais vous offrir à vous, mon client potentiel, si vous y croyez et si vous m’adoptez

Le moment est venu de mobiliser toutes vos forces, de crier sur tous les toits, et de hisser haut votre drapeau. Vous allez devoir discuter, prêcher, vous exclamer, chuchoter. Vous devrez consacrer toutes vos capacités intellectuelles à persuader, user de votre pouvoir de séduction, argumentaire, et combiner avec finesse tous vos atouts. C’est ce que j’aime appeler le « cocktail miracle ». Si vous êtes incapable d’injecter votre valeur différenciatrice dans la tête des gens, c’est la mort qui attend votre marque.

L’identité d’une marque est toujours le reflet de celui qui la promeut

La voiture de course, c’est l’entreprise, et la piste, c’est le mouvement quotidien du marché : toutes deux sont essentielles. Mais le pilote restera toujours, et sans exception, le facteur décisif.

Pour convaincre, vous devez être vous-même convaincu.

Que vous parliez d’idées ou de faits matériels importe peu. Quand vous cherchez à convaincre quelqu’un, en réalité vous faites que vendre quelque chose. Et le fait de vendre quelque chose est avant tout un transfert de conviction.

Pour la personne qui vend, l’art de présenter est la base de tout. Cela inclut son apparence et la manière dont il s’exprime : sa façon de parler, de se comporter et de s’habiller. Il doit être une projection vivante de la marque. Car, au yeux du client, il en est l’incarnation. Et à ce stade, il suffit d’un dixième de seconde pour construire une image.

On peut échouer à tout moment, mais on n’a qu’un instant pour réussir

Votre succès, quelle que soit sa nature, vous devez le convoiter avec une attention sereine et le flairer avec une avidité modérée. En privé, ne déclarez pas haut et fort que vous êtes en quête de succès ; tout ce que l’on gagne à se comporter en affamé de la gloire, c’est la jalousie et les obstacles qui la rende possible. Adoptez plutôt une attitude compréhensible, intuitive et vigilante. C’est ainsi que se comportent les grands chasseurs, car même s’ils ignorent quand leur proie se montrera, ils sont constamment en alerte pour repérer les premiers ce que les autres, déconcentrés, rateront.

Presque toujours, les opportunités de succès doivent être saisies au vol. il ne fait aucun doute que la monotonie conduit à l’échec, lentement et imperceptiblement

Haïssez vos concurrents, mais ne les sous-estimez jamais.

Soit vous passez votre temps à tergiverser et à vous flageller, soit vous vous concentrez sur la victoire finale. « La prochaine fois, je l’emporterai ! »Telle doit être votre devise lorsque vous prenez vos décisions. Parce que dans le business, si vous ne fourbissez pas sans cesse vos armes, la haine ne fera que les rouiller.

Ne vendez pas de la camelote, car cela ne peut que vous retomber dessus.

Ce qui fait une grande marque, c’est avant tout sa capacité à générer un climat de confiance et à donner de la crédibilité aux produits qu’elle vend. Une grande marque doit savoir combler et même devancer nos attentes.

Si aucune utopie ne vous maintien en éveil, vous traverserez la réalité en dormant.

Les utopistes qui nous ont permis d’accéder à nos rêves les plus fou, et qui continueront de le faire, sont la force motrice du bien être humain

Vivre avec l’espoir de concrétiser une utopie personnelle positive, c’est vivre deux fois.

Manger ou être manger.

Une fois que nous avons atteint un certain niveau de revenu et de confort, nous avons parfois tendance à oublier que nous vivions dans une jungle. C’est une des merveilleuses aptitudes du cerveau que de focaliser sur ce qui est bien et de passer sous silence ce qui l’est moins.

Malheureusement, il ne s’agit que d’une joyeuse illusion, qui a tôt fait de se dissiper. Le dur retour à la réaliser nous force à nous rappeler que nous ne sommes jamais que des animaux dressés pour vivre dans des jungles urbaines.

Quel que soit votre choix, vous ne devez jamais relâcher votre vigilance. Ce bas monde est peuplé de bêtes sauvages.

Avant d’affronter quelqu’un, sachez à qui vous avez affaire.

Si vous parvenez à trouver de quelle façon influencer la volonté de l’autre, votre force en sera multipliée. C’est cela même qui détermine le succès ou l’échec de n’importe quelle négociation.

Une entreprise ne connaît que trois états : elle croit, elle survit ou elle disparaît. Où est la votre ?

Gérer une entreprise implique d’avoir le sens des responsabilités, de savoir prendre les bonnes décisions. Il est tout à fait essentiel d’avoir en permanence une vision claire de direction à prendre.

Si vous vendez, c’est seulement parce que vous êtes plus persuasif que votre concurrent.

Qui va gagner ? La réponse est simple, directe et facile à retenir : le gagnant sera le plus convaincant. Celui qui saura présenter au client une offre authentique, optimale et absolument imbattable.

L’offre idéale est celle qui cible directement la conscience du consommateur, qui est toujours, perméable aux trois sujets de base : le sexuel, le social, et le sécuritaire.

Votre pire concurrent fait aussi des erreurs. N’est ce pas fantastique ?

Nous faisons tous des erreurs. C’est humain et, tôt ou tard, ça finit par arriver.

La concurrence fait aussi des erreurs, c’est un constat universel. Je n’ai jamais compris pourquoi les dirigeants d’entreprise ne consacrent pas cinq minutes de leur temps quotidien à l’étude des erreurs commises par leurs concurrents, non dans le but de se complaire dans une autosatisfaction sadique, mais pour surpasser et, peut-être, anéantir leurs pires ennemis.

On ne crée la motivation qu’avec du concret.

Si vous mesurez le temps consacré à une conversation stérile, le temps passé à éviter les pièges que vous tendent vos collègues, loups déguisés en moutons, le courage qu’il vous faut pour ravaler votre salive face à l’arrogance, à la stupidité et à la déficience mentale de vos supérieurs, vous arriverez à la conclusions que vous faites partie d’une génération dont les compétences sont passablement sous-utilisées.

Quand il ne se passe rien, il ne peut rien se passer

La scène est ouverte à tous, chacun peut y monter et y interpréter un rôle, mais la plupart des gens se contentent d’y faire de la figuration, voire de n’être que des spectateurs.

Certains parce qu’ils trouvent plus confortable de rester la ou ils se trouvent, d’autres parce qu’ils savent que toute tentative d’accéder à ce sui leur semble si lointain se soldera par un échec.

Alors … qui sont les auteurs de la pièce et qui sont les acteurs ? C’est facile ! Ce sont ceux qui décident de se lever, qui font l’effort de trouver leur chemin dans la foule et qui finissent par monter sur scène. Certains s’y hissent aisément en empruntant un escalier.

Les oiseaux chantent, les chiens aboient, les grenouilles coassent et les hommes parlent.

Et quand les plus intelligents parlent, ils expriment des idées.

Ils est primordial d’avoir conscience de ce que vous dites lorsque vous souhaitez décrire ou obtenir quelque chose, car c’est ainsi que vous dévoilez vos intentions, vos désirs ou vos stratégies de défense.

Les mots que nous prononçons sont les paroles de nos chansons : mieux vaut qu’ils sonnent bien aux oreilles de ceux qui nous écoutent.

Sans crédibilité, vous ne faites que marcher pieds nus sur un sentier caillouteux.

De la méfiance découlent la tension, le doute, la peur, la suspicion et même la haine.

Au contraire, la crédibilité est la clef qui rend la confiance possible. Lorsque nous sommes en confiance, nous pouvons nous détendre, nous abandonner et donner de l’amour. La confiance est le nœud qui supporte toutes les tensions.

L’oreille n’est qu’un récepteur. C’est votre bouche qui transmet votre aptitude à être et à décider

C’est avec votre bouche que vous exprimez votre personnalité.

Ressentir n’est pas un péché, c’est l’orgasme de l’intellect

En vous limitant, vous cous castrez vous-même. Cela revient à vous lobotomiser, à faire de vous-même un eunuque. Stimuler les sens aiguise la perception, cette artère qui véhicule l’essentiel des informations en direction du cerveau. Lorsque nous nous connectons avec ce qui nous stimule et nous intéresse, nous chargeons imperceptiblement nos neurones avec cette énergie que la vie nous apporte. Nous percevons mieux, nous ressentons mieux les choses. Nous grandissons.

Le consommateur oscille entre le rationnel et l’émotionnel

Voici le b.a.-b.a. de la séduction : il faut savoir dire au client ce qu’il a besoin d’entendre, exhiber le bon appât pour le poisson morde à l’hameçon.

Un cadre dirigeant est quelqu’un qui apporte de la valeur à son entreprise. Dans le cas contraire, il et de trop.

Il faut toujours garder à l’esprit que les entreprises sont des entités qui offrent des produits et des service et qui, sans la contribution de leurs employés, ne sont qu’un conglomérat d’espaces physiques, d’équipements, de ressources financières ou de stocks sans vie. Seules la qualité et l’attitude de leurs équipes parviennent à y insuffler la vie.

Si vous vous levez en pensant que vous vous rendez au travail pour accomplir quelque chose de meilleur, quelque chose qui récompensera vos efforts, et que vous travaillez dans cette optique, en faisant en sorte que cela se réalise, alors vous créez vraiment de la valeur.

Vous avez besoin d’un grand défi. Ca tombe bien, tout peut être amélioré !

Dans le pire des cas, l’ennuie est juste un décor de l’histoire d’une vie en cours. Mais si, au lieu de vous tourner vers le passé et de vous complaire dans votre situation, vous regardiez droit devant pour sentir et découvrir tout ce que vous pouvez réaliser, vous injecterez de l’espoir et de l’excitation dans votre esprit fatigué. Savez vous ce qu’il y a de plus merveilleux ? le fait que tout, absolument tout, sans exception, peut être amélioré.

Les choses sont telles que les gens les voient

Les gens qui ont l’intention de communiquer des choses et des idées ne peuvent pas se contenter d’en parler : ils doivent mettre l’accent sur les faits et les sentiments, qui permettent d’inspirer au plus grand nombre une perception ou une opinion positive.

Ecoutez archimède. Utilisez des leviers

Vivre avec son temps, c’est d’être toujours ouvert à la connaissance, à l’enseignement et aux nouveaux leviers qui contrôlent et dirige la société. Refuser de le faire, c’est s’affaiblir, manquer des opportunités et de perdre le contrôle de sa propre vie.

Il n’y a pas que de la bonne énergie. L’énergie positive vous fait avancer, l’énergie négative vous fait piétiner et régresser

Dans la mesure où le succès dépend des relations que l’on entretient avec les autres, il faut être attentif à la qualité et à l’intensité des sentiments que l’on transmet. Tout comme vous ne viendrez pas à un entretien en portant des vêtements sales, il faut contrôler les nuances d’expression qui influence la façon dont les autres vous perçoivent.

Dans votre travail, tout comme dans votre vie privée, transmettre une énergie positive, c’est emprunter le chemin vers la paix et la compréhension mutuelle, tandis que dégager de mauvaises ondes équivaut a jeter des punaises sur le sol tout autour de vous : à un moment ou à un autre, il faudra bien marcher.

Plus vous vous éloignez des gens, moins vous les connaissez

Pour être compris, vous devez en premier lieu chercher à comprendre. Et voici la grande question : comment pouvez vous comprendre quelqu’un qui vous est totalement inconnu ?

C’est facile !

Pour apprendre à nager, il faut se jeter à l’eau. Pour apprendre à cuisiner, il faut casser votre premier œuf et, pour comprendre les autres, vous devez vous immerger et vous entourer de personnes.

Vous devez les fréquenter, les écouter et les observer. Ouvrir votre esprit et vous immiscer sous leur peau. Sans adopter une attitude distante ou supérieur. Sans vous montrer autoritaire (les gens ignorent ce qu’ils veulent !). Sans être condescendant (ils ont besoin d’être guidés !).

Êtes-vous connu ou reconnu ?

Lorsque nous parlons, nous révélons nos opinions et nos intentions. Lorsque nous agissons, nous dévoilons ce que nous sommes. Et lorsque les autres nous voient (dans nos vêtement, avec notre partenaire, dans notre maison ou au volant de notre voiture) nous leurs donnons une impression.

Ensuite, vient l’opinion qu’on se fait de vous, et plus vous vous exposez en public, plus celle-ci est tenace.

Dans tous les cas, et contrairement à ce que prétendent certaines crapules, l’opinion des autres dépend de nos actes.

L’université est un brise glace. Mais pour faire un jour de belles prises, il faut quitter le navire et partir à la chasse.

Votre savoir sera votre arme de chasseur, mais ce qui sera déterminant pour votre fortune, ce sera votre capacité à vous emparer de votre proie, à tirer au bon moment et à viser juste. Pour chasser, il faut le talent et l’avidité du chasseur.

Quand vous vous mettez au travail, soyez propre, rassasié et informé

Négliger votre apparence, c’est comme tendre à quelqu’un une carte de visite sale et froissée. Le meilleur des produits se vendra mal si l’emballage ne fait pas envie.

Combien de fois avez-vous proposé à votre supérieur une amélioration concrète pour votre entreprise

En premier lieu, vous devez être le plus moral possible. Mêmes si elles peuvent paraître dépourvues d’âme, les entreprises sont d’abord des groupes d’êtres humains. Bien évidement, vous serez confronté à des patrons sourds, limités, inutiles, et vous ne tarirez pas d’insultes à leur propos. Oui … et alors ? tout le monde a un talon d’Achille, et même eux ont un point faible qui vous permettra de captiver leur intérêt et de retenir leur attention. Le simple fait de chercher à débusquer ce talon d’Achille constituera un bon exercice pour votre intelligence.

Maintenant, pensez à en faire autant auprès des seules personnes susceptibles de vous décrocher une promotion : vos patrons. Rappelez-vous bien que ce sont d’abord des êtres humains. Et n’oubliez jamais que plus les gens sont haut placés, plus ils se sentent seuls

Les marques doivent avant tout être des forteresses

Elle doit se différencier, afin que tout le monde puisse reconnaître dans son identité un ensemble immuable, unique, mémorisable et désirable.

Elle doit être prestigieuse, pour encourager la confiance de ceux qui l’achètent, et réaffirmer son caractère aux yeux des autres.

Il faut la préserver : elle doit toujours être actualisée, amis jamais perdre son essence et sa personnalité. Les grandes marques se déploient à la façon des arbres, non des feux d’artifice.

Il faut également l’aimer, comme tout ce que l’on souhaite préserver pour que ça dure toujours.

Le marketing est un système, la publicité est un art

Lorsque vous êtes là pour gagner, il est fondamental de connaître votre marché. Un bon directeur marketing doit traiter sa marque de la même manière qu’un sherpa traite son client sur l’Everest. Il doit le mener au sommet.

Recourir à la séduction pour convaincre est une véritable art et, comme tout art, il est fait de nuances, de surprises et de ruses destinées à lui faire atteindre sa cible. Le génie étonne toujours, et crée de la tension et de l‘émotion.

La communication, c’est l’art de se faire comprendre.

Dans une société où tout est à vendre, une bonne communication laquelle qui donne accès à ce qui est précieux entre tous : les esprits. C’est pourquoi les grands communicants sont en fait de grands « convaincants ». Ils ont pour mission la communication et, pour proie, les cerveaux des gens.

Demandez-vous de temps à autre vous vous en êtes en termes.

Tout ce que nous faisons pour avoir un impact sur autrui ne sera efficace que si l’autre nous croit.

Sa crédibilité, nos intentions sont perçues et interprétées avec amusement ou mépris.

Le plus ne gagne pas systématiquement. Le marché et le succès n’obéisse à personne.

Que vous soyez dans les starting-blocks de la course du jour ou de celle de la vie, ce qui est le plus déterminant et ce qui compte au final, c’est l’attitude que vous adoptez. Sans la volonté de réussir, vous n’êtes qu’un spermatozoïde sans que : vous avez la capacité de créer, mais quelqu’un doit vous pousser. Les vainqueurs du futur sont toujours des spermatozoïdes complets.

La liberté crée l’expansion. Les restrictions engendrent la mesquinerie.

Si vous voulez changer le monde, il vous faudra quitter votre village. Vous devrez vous rendre là où tout se passe, guidés par l’ambition et la liberté collective. La pensée créative et une graine qui a le potentiel de produire un fruit. Toutefois, afin de croire, elle a besoin d’être plantée sur un sol fertile, d’être arrosé et baigné de soleil. Les environnements fermés, craintifs, exclusifs et répressifs ne conduisent bien d’autres que de la paralysie, du contrôle à outrance et, avec le temps, du mal, à la fois économique et intellectuel.

Le fruit que vous croyez dépendra toujours de l’endroit où vous plantez vous pensées.

Sa personnalité, vous n’êtes rien.

Lorsque nous dépassons le cercle des relations familiales et sentimentales, et pénétrons dans le tissu infini des relations humaines, nous découvrons que chacun d’entre nous est une marque. Nos nom et prénom sont notre empreinte, et c’est la somme de l’intérêt, du bénéfice de la personnalité dégageons et que les autres perçoivent, qui détermine si nous serons acceptés ou rejeter.

Sans personnalité, la présence et le contact sont insignifiants, voire agaçant. Sans personnalité, vous n’êtes rien.

Le pire avec peur, c’est qu’elle peut vous gagner sans même combat.

À certaine époque et dans certaines circonstances de la vie, il est extraordinairement important de savoir lutter contre sa peur, car c’est ça qui détermine si vous vous battrez pour le changement ou si vous vous agenouillez par soumission.

Lorsque vous vous élevé contre règne de la peur, ne vous laissez pas impressionner, parce que c’est précisément le but recherché.

Un homme courageux a dit un jour que la seule chose à craindre et la peur elle-même. C’est pourquoi vous devez dépasser la force et la malice de votre oppresseur avec la ténacité, la méthode, la sagesse et l’agilité du libérateur. À tous les niveaux. En toutes circonstances. À chaque instant

Vous n’avez qu’un seul problème ? Quelle chance ! Tout ce que vous avez affaire, c’est trouvé la solution.

Que cela vous plaise ou non, vous devrez toujours résoudre les problèmes. Ils sont la face cachée de votre lune, c’est que vous ne voulez pas droit, mais qui existe et vous suivra toujours.

En tout état de cause, n’oubliez pas que la mort est la seule chose qui soit définitive. Tout le reste n’est que problème ponctuel pour lesquelles les solutions existent.

Vous êtes aux commandes vous vous en persuadez ?

« La persuasion », s’est approché les neurones de l’auditeur et les envelopper doucement jusqu’à y pénétrer. C’est tout un art : creuser des tunnels pour atteindre le noyau de la compréhension et de l’engagement, afin que vos besoins fusionnent avec ceux de l’auditeur pour devenir les siens. Nous ne commandons pas : nous éditons. Nous imposant pas : nous partageons.

La suite dans le prochain épisode

 

 


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